Miwako Maruyama [Nouvelle fiche]

¤ LE PERSONNAGE ¤

Miwako Maruyama [Nouvelle fiche] Zolivi10

Miwako Maruyama [Nouvelle fiche] Zolivi13

Nom : Maruyama
Prénom : Miwako
Âge : 18 ans
Fraternité: Fuyu

Année : Première année
Niveau : A
Section : Littérature

Description Physique : Niveau physique, j’ai de longs cheveux bruns lisses, qui possèdent des reflets auburn. Ceux-ci sentent énormément la fraise du fait que je les ai toujours lavés avec un shampooing à ce parfum. J’ai de grands yeux chocolat, un front large et des pommettes hautes. Mon menton est mince, et mon nez fin. J’ai des lèvres pleines, peut-être un peu trop pour mon petit visage en légère forme de coeur. Mes sourcils sont légèrement plus foncés que mes cheveux. Je ne pas très grande pour son âge et suis naturellement mince. De plus, j’ai la peau très pâle ce qui me donne l’apparence d’une poupée fragile à mon plus grand malheur.
Caractère : Devant les gens, je suis une femme enjouée et pleine de vie ce qui explique sûrement pourquoi les gens aiment être en ma compagnie. Je déborde d’énergie dans ce que j’entreprends et ce qui me tient à cœur. J’ai un bon caractère et suis plutôt facile à vivre. Je n’aime pas montrer mes sentiments et mes faiblesses. C’est pourquoi vous me verrez toujours sourire. J’ai beaucoup d’imagination. Il m’arrive souvent d’avoir vraiment un côté gamine dont je joue pour arriver à mes fins. Ayant grandit en étant plus que gâtée et choyée en étant traité comme si j’étais le centre du monde, je peux parfois faire des caprices. En effet, il m’arrive de me comporter comme une vraie « petite princesse ». Je suis aussi un peu narcissique car je me soucie beaucoup de ma personne et n’aime presque personne plus que moi-même. Mais ce n’est pas pour autant que je suis égoïste ou prétentieuse. Au contraire, je ferai tous pour les personnes qui me sont chères. A l’inverse de tout ça, je peux me montrer très lunatique par moment. Aaah mélancolie quand tu nous tiens… Dans ces moments, je préfère rester seule. Ce qui peut m’apaiser dans ces cas là ? Ecouter le tonnerre puis regarder les éclairs zébraient le ciel avant que la foudre ne s’abatte les soirs d’orage. A ce moment là, c’est pour moi l’extase à l’état pur ! J’aime aussi regarder la pluie tomber. Cela me rend dans un état de bien être général, allez savoir pourquoi. Depuis quelques temps, ce deuxième aspect de ma personnalité domine…
Histoire : Née le 26 avril 1988 un joli jour de printemps à Kyoto, je suis la petite dernière d’une famille de deux enfants. Mon père étant directeur d’une grande firme internationale et ma mère avocate à la cour de Tokyo, notre petite famille n’a jamais manqué de rien. J’ai toujours vécu dans le luxe au milieu de personne qui me choyait sans cesse. Mes parents, bien que très peu présents à cause de leurs travails, éprouvaient un amour sans limite pour mon frère Akira et moi. A chacun de leurs voyages, ils nous rapportaient une multitude de cadeaux comme pour essayer de compenser le fait qu’ils n’étaient jamais présents pour les deux enfants. Mais je ne souffris pas tellement de se manque d’affection car tout mon cœur était réservé à mon frère (bien que j’adorais aussi mes parents cela va de soit). Il était vraiment la personne qui comptait le plus pour moi.
Je reçus également une éducation stricte. A seulement 10 ans, je savait déjà parler en plus du japonais, le chinois, l’anglais et le français du fait de mes nombreux professeurs particuliers et de mes fréquents voyages dans ces pays respectifs.
Puis vint le jour où mon frère du entrer dans l’entreprise familiale pour qu’il sache comment la diriger lorsque notre père viendrait à mourir, étant donné qu’il était l’héritier principal. Depuis tout petit il avait été élevé dans ce seul objectif. Je le voyais donc de moins en moins et cela me manqua atrocement au début. Il se passait même plusieurs mois sans que je puisse lui adresser un mot ou même le voir ; nous ne faisions que nous croiser. Puis, comme la sagesse grandit en vieillissant, je me fis à l’idée que c’était notre destin d’emprunter deux routes différentes et je décidai de concentrer plus sur ma vie (avant, la mienne m’importait peu, seul mon frère comptait).
L’année de mes 17 ans, je reçus l’éducation d’un nouveau professeur particulier d’histoire, Monsieur Kanoba. Malgré notre grande différence d’âge –plus de 10 ans d’écart-, des sentiments de plus en plus fort se mirent à naître en moi. Je me cachai la vérité, me disant que ce n’était que l’admiration éperdue que j’éprouvais pour lui ainsi que sa profonde gentillesse qui me voilait la face et me faisait croire amoureuse de lui. Mais à chacune de nos leçons, son charme fou (qui était loin de me laisser indifférente), ses bonnes manières, son humour, son intelligence, -en somme, tout ce qu’il était et qui me plaisait tant chez lui- me faisait perdre de le fil de mes pensées et je ne compte plus le nombre de fois où il du me rappeler mon inattention. Mais il y avait un hic dans cette histoire, quelque chose que j’avais vu dès le premier jour. Son alliance à son annulaire, je l’ai remarqué tout de suite… Jamais je ne lui en parlai –et il fit de même-. Cela m’étonna d’ailleurs car nous parlâmes beaucoup de nos vies respectives ; mais jamais l’aspect matrimonial ne fut abordé…
Au bout de quelques mois, il fut –malheureusement- admis dans une grande université et quitta son service auprès de ma famille. Il ne me resta de lui que son nom, et le souvenir de son doux sourire. Jamais je n’oublierai la façon dont il me fit ses adieux… C’était un jour d’hiver, malgré le temps frais et la neige, d’agréables rayons de soleil zébraient le ciel. Il s’approcha de moi et murmura à mon oreille de sa voix suave : « Miwako… Merci… ». Puis il tendit sa main et caressa ma joue rougie par ses paroles –et sa présence- du bout de son index avant de se retourner et partir. Je n’avais pu dire mot. Merci pour quoi ? Je n’en avais pas la moindre idée… Pour moi, il était perdu à jamais ; j’en fus anéanti… Je passais désormais plongée dans la littérature et l’écriture –sans oublier l’Histoire, qui était devenue ma passion-. Je ne voyais plus personne et je finis par accepter la demande de mes parents qui était d’aller à Samui Daigaku –chose que je refusais depuis des années-. Depuis ma sortie du collège, ils m’avaient fait part de leur vœu qui était de me voir entrer dans cette université.
Quelques mois après mon entrée à la fac, il se passa une chose auquel j’avais renoncé de croire –et même de rêver- depuis longtemps déjà… Je revis Monsieur Kanoba dans un couloir désert alors que j’étais en retard à mon cours de littérature. Il avait été accepté comme professeur d’histoire ancienne à Samui Daigaku. Lorsque mon regard croisa le sien, je ne pus empêcher mes larmes de couler. C’était si soudain, si invraisemblable que je m’en retrouvai pétrifiée. Il m’adressa alors un sourire –le plus beau des sourires-. Jamais il n’avait eu telle expression. Il s’approcha de moi et fit disparaître mes larmes de mes jours du bout de ses doigts. Je relevai mon visage vers lui, plongea mon regard dans le sien et dit : « Notre prénom, vous ne me l’avez jamais dit… ». Pour la seconde fois depuis que je le connaissais, il s’approcha de mon oreille et murmura : « Shinjî… ». C’est alors qu’à ma grande stupéfaction, il m’embrassa. Pas d’un de ces baisers doux et délicats de jeunes amants mielleux, mais un de ceux alliant passion enivrante et fougue d’un amour brûlant et interdit. Je ne pus le repousser –ou plutôt, je ne le voulais pas-. Je savais que c’était mal mais mon cerveau était comme déconnecté de la réalité. Au bout de plusieurs minutes, je retrouvai mes esprits lorsque mes doigts entrèrent en contacte avec son alliance. Je reculai de quelques pas et dis d’une voix peinée tout en baissant les yeux : « J’ai eu tord de faire ça… Tu es marié et tu as sûrement un enfant… Je suis désolée… » Il prit mon visage dans ses mains et tacha de rencontrer mon regard. Je ne pouvais le regarder en face, j’avais trop mal surtout qu’il venait de répondre : « J’ai en effet une femme et une fille… ». Des larmes recommencèrent à perler sur mes cils. Mais il ajouta dans un souffle : « Mais je suis prisonnier d’un mariage arrangé, ce n’est qu’avec une seule personne que je peux être heureux… »
Et je vous laisse imaginer la suite. Nous devinrent amants mais malgré le sentiment de culpabilité que je sentais au fond de mon cœur, je me sentais bien avec lui, plus que bien… Avoir une relation secrète et dangereuse ne me dérangeait pas, tant qu’il restait près de moi…

Relations : Liaison secrète avec Shinjî Kanoba
Autres : Passion pour le ski et le kung fu

Avatar : Olivia Lufkin

¤ LE RPGISTE ¤

Pseudo : Bella
Âge : Presque 17 ans
Votre impression du forum : Je le trouve parfait =) Moi qui suis difficile en matière de forum RPG, je ne me serais jamais inscrite sur un forum qui ne me plait pas à 100 % ^w^ Je n’ai aucune objection à faire, félicitation pour l’administration ;)
Quelque chose à améliorer, ajouter? : /
D'où connaissez-vous le forum ?: Je ne me rappelle plus ^^’ C’était par hasard, en voguant de forums à forums, de partenaires à partenaires.
Fréquence de connexion : 6/7

Re bienvenue parmis nous ^^

Re Bienvenue et donc toujours validé ^^

Si je comprend bien ton PV est toujours d'actualité ^^ Je le laisse donc.
Merci pour ta fidélité

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